I always wanted to take French classes and finally did this past year at Alliance Francaise Halifax.
It was one of the best decisions I've made in a while!
Taking classes one night a week for less than a year, I was able to advance from the A (beginner) level to the B (intermediate) level.
I can now carry on basic conversations about myself, work, culture, and society with others, and have a good understanding of French news, movies, and podcasts.
I also recently started a new job with the federal government, so it's great to be making progress with the French language skills that I need to work in a bilingual environment.
They also host events and put on talks that give you a taste of French culture.
I would absolutely recommend this school to anyone.
Conférencière invitée à l'Alliance Française Halifax
Francoise Enguehard
LireDès qu’on dit Alliance Française, on pense état français et, par extension, un budget gouvernemental à la clé. Erreur! Grossière erreur. En fait, chaque Alliance est responsable de son propre financement.
Dans le cas d’Halifax, l’Alliance s’autofinance à hauteur de 99% et dépend de quelques petites subventions ou partenariats pour le reste.
Les alliances ne sont pas des associations françaises de type Loi de 1901. En fait, chacune est structurée selon les coutumes du pays où elle s’installe. Ainsi au Canada, les 9 alliances françaises sont des associations canadiennes à but non lucratif.
Le travail de l’Alliance s’accomplit également beaucoup hors des murs: comme fournisseur officiel de formation linguistique pour le gouvernement canadien, bon nombre des cours de l’Alliance se donnent directement dans les ministères. L’Alliance offre également de la formation directement au sein de grosses entreprises comme ubisoft, récemment implantée dans la capitale néo-écossaise, ou aux employés du musée canadien de l’immigration Quai 21.
Je veux apprendre plus le français et je n’ai pas beaucoup d'opportunité de parler avec d'autres personnes...
Le concept est simple. Ce sont des rendez-vous rapides inspirés du phénomène de speed dating. Ici, l'objectif n'est pas seulement de faire des rencontres, mais aussi pour permettre aux francophones de tout niveau, de se délier la langue, le temps d'une courte conversation.
Quand on rencontre quelqu'un dans une langue, on a tendance à parler dans la langue dans laquelle on s'est rencontré, même si ça fait longtemps qu'on se connaît, explique Lucie Taussig, de l’Alliance française d’Halifax, qui a mis sur pied l’activité de speak dating.